Découverte de la salle virtuelle [pv mathilde]

Dorgoth arriva enfin à la salle virtuelle dont on lui avait si souvent parlé. La salle était quasiment vide mis à part un bloc noir qui tronait en son centre Dorgoth s'avança avec méfiance; il s'apprêtait à le toucher mais se dit qu'il préférait attendre mathilde à qui il avait donné rendez vous ici-même.
Il s'adossa donc contre un des murs de la salle et attendit.


*J'espere qu'elle ne tardera pas trop*

Il avait découvertde nombreuses salles avec mathilde et à chaque fois ça avait été une éxperience fascinante. Il avaient même, parfois, frolé la mort mais s'en étaient toujours sortis indemnes. Il l'attendait donc avec impatience

Mathilde marchait d'un pas décidé dans les couloirs. Ses longs cheveux bruns ondulaient derrière elle. Les mains fourrées dans les poches de son jeans, vétue d'un T Shirt noir, elle allait à la salle virtuelle où elle avait rendez vous avec Dorgoth. Plongée dans ses pensées, elle réfléchissait à ce qu'elle allait bien pouvoir découvrir cette fois ci. Ses mombreuses découvertes à Tara avaient toujours été des expèriences fascinantes, bien que parfois un peu perturbantes. Soudain, elle arriva devant une porte. Celle de la salle virtuelle. Elle posa sa main sur la poignée et la tourna pour pénétrer dans la pièce. L'endroit était vide et silencieux. Seul un bloc noir au centre et Dorgoth adossé à un mur troublaient la mélancolie de la piéce. Avec un sourire malicieux, ses yeux bleus pétillants, Mathilde avança vers Dorgoth. Elle déposa un léger baiser sur ses lèvres et chuchota:

Ça va?

Puis elle se retourna vers le bloc. La tranquillité de la salle la forçait à être la plus discrète possible.

Dorgoth répondit à son baiser

"Pas trop mal"

L'Elu du Feu se décolla du mur et se rapprocha de l'étrange sculpture. Curieux il l'observa quelques instants. Elle était totalement lisse mis à part une cavitée en forme de main sur son dessus. De plus en plus intrigué il posa sa main dessus. Aussitôt la salle disparut laissant place à un décor blanc et sans aucun relief. L'adolescent, perplexe, regarda Mathilde avec une expression intriguée

Mathilde sourit légèrement à la réponse de Dorgoth. Mais quand la salle changea, elle fronça les sourcils. Le cube noir était toujours au centre de la salle, mais cette fois blanc. A son tour, Mathilde avança et posa la main à l'emplacement prévu. Alors rapidement la salle devint verte très fonçé, presque noire. Le cube, était vert aussi. Mathilde se tourna vers Dorgoth et lui jetta un regard interrogateur. Puis elle obseva autour d'elle. Cette fois, des racines brunes ressortaient des murs par endroits. C'était évident que la salle refletait l'élément maîtrisé par Mathilde.

*Mais pourquoi c'était juste blanc quand Dorgoth a mis sa main lui?*

Mathilde était plongée dans ses pensées mais au bout d'un long moment de réfléxions mais elle releva la tête versq Dorgoth et fit remarquer:

C'est étrange, non? T'as un avis sur la question?

"Le cube doit refléter çe à quoi tu pense, quand j'ai posé la main sur lui je me demandais çe qui allait se passer. Ile st donc logique que le décor soit devenu blanc. On ne peut pas donner une forme matérielle à une question."

Il reposa sa main dans la cavitée mais cette fois-ci en pensant à quelque chosede précis. Aussitôt le décor changea et ils se retrouvèrent dans une immense salle obscure seulement éclairée par une lueur rouge provenant de trous creusés dans le plafond. L'immense colonne noires et luisantes soutenaient la voute. Une des extrémitées de la salle était plongée dans le noir et on n'en discernait pas le fond. Mais quad Dorgoth se retourna il retint une exclamantion de stupeur. En face de lui se dressait un gigantesque trone, apparement sculpté dans le même matériau que les colonnes. D'étange signes étaient gravés sur toute la surface du trône suivant une symétrie complexe et les deux accoudoirs se terminaient par deux immenses cranes aux dents gigantesques. Une terrible certitude s'empara alors de Dorgoth quand il se souvint de çe à quoi il avait pensé

Mathilde asquiessa légèrement. Elle pensait à la magie, à ses capacités, il lui sembla donc évident que la salle reflète la Terre. Mais quand Dorgoth le refit, la salle changea de nouveau. L'ambiance était étrange et presque inquiètante. Mécaniquement Mathilde se blottit contre le bras de Dorgoth en frissonant. A quoi avait il pensé? Elle fronça les sourcils et formula sa question à haute voix:

Tu pensait à quoi là?

Il y avait des milliers de possibilités mais pour Mathilde, c'était surement à quelque chose de son passé. Elle jeta un regard vers Dorgoth qui avait l'air troublé.

"Je ne...je ne voulais pas...c'est venu comme ça"

Il regarda autour de lui quand un grondement se fit entendre. Il semblait provenir du fond non éclairé de la salle. On aurait dit le fracas des flots contre des récifs. Le son s'arrêta puis revint plus intense. Dorgoth recula vers le trône entrainant Mathilde avec lui. Il monta à reculons la première marche, sortit son épée avant de l'enflammer d'un geste machinal

"J'ai pensé à mon père"


Une troisième fois le son se reproduit mais cette fois çi le sol se mit à trembler tandis que d'étrange voix spectrales semblaient chuchoer autour d'eux. C'est alors qu'un rugissement colosal se fit entendre

Soudain les grondements cessèrent et un silence pesant s'installa. Dorgoth ouvrit la paume de sa main droite d'un geste lent et une petite boule de feu blanche y apparut. Il la projeta vers les ombres. Elle avança en tremblotant éclairant peu à peu le long couloir de colonnes qui n'en finissait pas. Tout à coup elle disparut. Et un son étrange brisa le silence. C'était le bruit de talons sur des dalles

"Qu'est ce que..."

Les ténèbres se résorbèrent puis elles semblèrent se scinder au centre du chemin de dalles et un homme apparut. Il portait un costar umpeccable, était coiffé les cheveux plaqués en arrière et ses chaussures noires et cirées produisait un claquement régulier.
Il avança encore jusqu'à qu'il ne soit qu'à quelques mètres des deux élus. Dorgoth passa devant Mathilde et pointa son épée sur le nouvel arrivant une lueur de défi dans les yeux.

"N'avance plus!"

L'homme eut un sourire calme et fit un doux mouvement de la main. L'épée du jeune homme lui échappa, s'envole et alla se planter avec une verticalitée totale derrière l'homme

"Toujour aussi impulsif mon fils...c'est bien"

Dorgoth etait pétrifié. Il tentait de refouler les pensées qui l'envahissait

*Non..pas mon père...c'est impossible...je suis toujour à l'académie il ne peut pas...*

Mais impossible de le nier. La chose qu se tenait en face de lui n'était pas un hologramme ultra sophistiqué. Il recula un peu son arme toujour pointée vers le démon. Celui-ci écarta les bras sans s'arrêter de sourire

"Allons, dit-il, je ne suis venu spécialement pour discuter avec ma descendance...et voila comment je suis reçu!"

Moloch se pencha sur le coté comme pour regarder au dessus de l'épaule de Dorgoth

"Oh mai je vois que nous ne sommes pas seuls!...voyons, ne vous cahcez pas approchez jeune fille"

Les yeux de la chose devinrent subitement rouges

"Nous nous conaissons je crois"

Mathilde avança légèrement. Elle détestait obéir naïvement mais une impulsion étrange l'y avait obligée. Mais son regard fixé sur l'homme resta dur. D'un ton froid, elle salua:

Enchantée.

Puis elle réctifia avec toujours autant de froideur:

De vous revoir...

Au fond de la salle, une roche se décrocha du plafond, déclenchant un grondement sourd.

hj: j'avais pas d'inspiration. -_-° désolée! c pour ça que j'ai mis de la m*rd*

Dorgoth se repalça devant elle une expression étrange sur le visage. Il se sentait étrange, il ne ressentait plus aucune peur mais au contraire une envie de provoquer son père.

"Je ne t'ait pas autorisé à lui parler je crois..."

A ces mots un grand silence se fit dans la salle. Moloch écarquilla les yeux...pour finalement éclater d'un rire cruel. Il en vint même à se plier en deux. Dorgoth le regarda avec une expression interloquée. Il s'apprêtait à ouvrir la bouche quand soudain le sourire disparut du visage du démon. Celui-ci se releva avec une rapiditée incroyable et tendit la mains vers son fils. Aussitot le jeune homme sentit un étau se refermer autour de sa gorge tandit qu'il s'élevait dans les airs. Son père changea de forme. des cornes poussèrent sur son front et sa peau devint rouge et écailleuse et ses yeux ne furent plus que deux fentes rougeoiyantes.

"Ici c'est moi qui autorise."

Dorgoth retomba au sol, roula sur lui même avant de se relever. Sans pls réfléchir il empoigna Mathilde par le bras et courut en direction du panneau de contrôle de la salle virtuelle qui etait apparu jsute devant les marches menant au trône il se jeta dessus et tenta de penser de toutes ses forces à un endroit calme et sans danger. Comme le paysage se brouillait il vit son père lu adresser un signe de la main comme s'ils venaient de passer une bonne soirée ensemble. Puis il fut aspiré dans un tourbillon de couleurs qui lui fit fermer les yeux. Au bout de quelques minutes il sentit le sol sous ses pieds. Il sentait toujour le bras de mathilde dans sa main gauche. Il rouvrit les yeux et faillit pousser un cri de surprise. Ils étaient dans une immense plaine d'herbe verte parsemée de quelques arbres. Le cile était d'un bleu éclatant et un léger vent lui ébourifait les cheveux. La tension qu'il avait accumulée disparut peu à peu.

"Woaou"

Mathilde, entrainée par Dorgoth, atterrit avec lui dans la plaine. Elle jeta un regard curieux autour d'elle puis se frotta légèrement les bras, comme s'ils étaient couverts de poussière. Elle se tourna vers Dorgoth et dit avec une pointe d'humour:

Pas très aimable ton père!

Elle chercha autour d'elle l'objet qui pourrait la ramener à Tara avec Dorgoth car elle commençait à en avoir assez de tous ces paysages inconnus. Elle aperçut à quelques mètres la plaque, flottant au dessus du sol. Elle attrapa la main de Dorgoth et s'approcha en pensant au début. Et soudain, dans un éclair éblouissant, ils se retrouvèrent dans la salle de départ avec la porte comme issue.

Allez, viens, on sort!