Elder était sorti en ce jour pour observer comment se déroulait la vie urbaine, il avait des écnomies. Il avait d'abord flâné pret des échopes diverses et variés, puis c'était dirigé vers les magasin de vêtements. Il voulait emmenager tres prochainement dans une chambre et devait tout d'abord refaire sa garde de robe qui était composé.... d'un tee shirt, d'un pantalon d'un caleçon et d'une chemise !
Il s'était dirigé en toute nâiveté vers les magasin de sous vêtements pour femme, il compris tres vite, au regards affolés des clients, qu'il n'était pas a sa place ici.
Il se dirigea d'un pas rapide mais mal assuré dans les rue et rentra a tout hasard dans un magasin de vêtements.... de sport ! ( quel hasard !)
Il regardais les jogging et les casquettes en révassant, puis vers les baskets, il en choisi une paires vertes kaki avec des rayures horizontale marron fonçé. Elles lui plaisaient et elle n'était pas cher.
Il paya rapidement sans prendre la peine de les essayer et sorti tout aussi vite de la boutique, préssé de les mettre.
Il ouvrit la porte a la volée et tomba né a né avec un jeune homme qu'il percuta. Les deux hommes se retrouvèrent au sol sans comprendre ce qui leurs arrivait.
Elder s'apretait a s'excuser quand l'homme rejeta la faute sur lui. Cela énerva passablement l'Elu de la terre qui trouvait son interlocuteur un peu aggréssif...
Il répondit sur un ton bref :
- Je vous retourne la réflexion... regardez devant vous quand vous marchez !
Il n'était pas tout a fais convaincu de la véracité de cette derniere phrase, car il savait tres bien que lui même n'avait pas regardé devant lui. Il pensa avec un regret anticipé :
*Elder, pauvre garçon, tu viens a peine de trouver un endroit pour le plus acceuillant et tu commence deja a te faire remarquer, pour une chose aussi futil que cela ...*
Il se relava , seul, mais tendit la main au garçon qui était toujours par terre
- Enfin, par une si belle journée, nous devrions plutôt parti sur de bonne bases, non ? je suis Elder Hakramar.
Son expression un peu énervé avait disparu et un grand sourir illuminait son visage, il était envahit par une joie de vivre innatendue.