Mes textes

Alors voilà, après le graph', les textes xD

Bon d'accord ils sont pas super joyeux...mais bon ^w^

Faut bien dire que j'ai du mal à mettre celui là, parce que je l'ai écris après avoir fait quelque chose d'assez éprouvant (ça se lit dans ce texte). Enfin voilà, moi ça me soulage de vous le montrer, c'est comme ci j'en parlais par le biais d'autre chose ^^

Citation :

Jenny était allongée dans son lit, une simple couverture posée sur elle et des draps. Ses longs cheveux roux étaient détachés, posés sur son oreiller, et ses yeux noisette étaient ouverts, fixant la fenêtre en face d’elle. Blottie au milieu de ses drats, elle n’arrivait pas à s’endormir, la lumière feutrée de la lune éclairant son visage pâle dénué d’expression. La jeune fille frissonna, il faisait froid dans sa chambre, elle avait oublier d’allumer le chauffage, mais peut l’importait. Il était presque onze heures du soir, et ses parents se disputaient encore, et encore. S’envoyant des insultes, restants posés sur un seul sujet de conversation mouvementée : Jenny. Ils hurlaient en insinuant sa scolarité, son allure, tout quoi. Mais rien n’était de sa faute, et pourtant, la jeune fille se croyait tellement coupable.

Après quelques minutes, la jeune adolescente n’entendit plus rien, simplement la pluie qui martelait la fenêtre. La porte de sa chambre s’ouvrit doucement, et Jenny ferma les yeux pour faire croire qu’elle dormait. C’était sa mère qui s’assurait sûrement que sa fille dormait, comme d’habitude. Soir après soir, Jenny avait le droit au même cinéma. Ses parents se disputaient, pensant pourtant que la jeune fille dormait à poings fermés. Mais ça n’était jamais le cas. L’adolescente était suivie par une psychologue, car ayant eu beaucoup de problèmes auparavant, elle s’était beaucoup scarifiée, et avait donné beaucoup de menace de mort à ses parents, prédisant qu’elle allait se tuer…

Jenny entendit sa porte se refermer sans bruit, et elle frémit. Se tournant dans son lit, elle sentait les drats coller sur la moiteur de sa peau. Elle aurait bien voulu prendre une douche, mais elle ne voulait pas encore être le sujet d’énervement de ses parents. Cette fois ci était de trop, c’était la goutte d’eau qui venait faire déborder le vase. Si Jenny ne pouvait pas libérer sa colère et sa tristesse en pleurant, elle avait un autre moyen en tête.

Se redressa sur son matelas, elle quitta les drats de son lit et apprécia le courant d’air passant par la fenêtre mal fermée. Son pyjama trop épais lui tenait affreusement chaud, alors qu’il y à peine une minute, elle avait très froid. Son chauffage était gelé, son thermomètre affichait neuf degrés, mais elle avait très chaud, comme dans les soirées d’été où l’on préfère dormir nu ou en sous-vêtements que de se vêtir d’un pyjama inconfortable en une telle période de l’année. La jeune fille marcha lentement jusqu’à sa porte, l’ouvrit, et pénétra dans le couloir sombre et calme. Ses parents étaient sûrement à trois mètres l’un de l’autre, avachis dans le sofa, face à la télévision. Jenny referma doucement sa porte derrière elle, et entra dans la salle de bain, face sa chambre. Loquant celle-ci, elle se mit face au miroir, après avoir ouvert la fenêtre et laissant passer la lumière feutrée de la lune. On pouvait voir ses yeux rougis par la fatigue, des cernes les ornant, lui donnant un air de mort-vivant.

Comme tirée par un cauchemar réel, elle empoigna le rasoir de son père, et y retira lentement la lame aiguisée. Les yeux larmoyants, elle regardait son reflet d’un air vide et dénué d’expression. Dans sa tête, elle s’imagine son futur bonheur, sa future délivrance. Ses mains tremblaient, elle transpirait, des gouttes perlaient son front pâle. Finalement, après quelques minutes, les larmes brillèrent sur ses joues, et coulèrent à flot tendit qu’elle entendait sa mère l’appeler. Visiblement, elle avait remarqué sa disparition, alors qu’elle était censée dormir.


Mais Jenny ne comptait pas revenir en arrière, elle était en décidée à en finir pour de bon, à ne plus devoir survivre à une vie in qu’elle jugeait malheureuse…La jeune fille frissonna, et posa la lame sur son poignet, en effectuant une légère pression sur ses veines. Fermant les yeux, elle sentit la lame s’enfonçer lentement dans sa peau qui se coupait sans contraintes…elle finit par atteindre les veines, une veine importante, celle-ci céda littéralement sous le poids de la lame…Jenny se crispa. Dieu que c’était douloureux…dieu qu’elle avait mal, qu’elle souffrait, le sang coulait tout le long de son bras violet par le manque de celui-ci. Son pyjama était trempé de ce liquide rouge foncé, et le sang n’arrêtait pas pour autant de couler. Un voile noire se dessina devant ses yeux, elle pensait alors à ces instants de bonheur qu’elle avait vécu avec sa famille, ses amis, son petit ami…En fin de compte, au fond d’elle, elle était heureuse, mais elle ne voulait pas l’admettre, ou plutôt, elle n’arrivait pas à l’admettre…

Elle voulait ouvrir les yeux, mais son corps ne lui appartenait plus…

La jeune fille tomba lourdement sur le sol froid de la salle de bain, sa main lachant subitement la lame de rasoir qui tomba elle aussi, laissant des gouttes de sang frais s’écouler de celle-ci. Le sang s’écoulait à flot des veines ouvertes de Jenny…

Elle voulait se raccrocher, mais elle n’y arrivait pas…

L’adolescente eu un sursaut, ouvrant de grands yeux emplis de peur et de douleur. Elle voyait la porte de la salle de bain s’ouvrir à la volée, tendit qu’elle fermait les yeux à tout jamais, son corps se détendant lentement…

Elle ne voulait pas mourir, mais c’était trop tard…

Donnez moi votre avis (même si ce texte est vieux...)

le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est très bien écrit !

hereusement que c'est vieux... on a pas envie d'avoir une sakura dépressive !

Pfiou...c'est pas gai...lol j'aime bien quand même...^^

boouuuu c'est trop triste T.T

Mdr quand je dis vieux, c'est un mois xD Mais t'inquiète je suis pas dépressive xD

Nan c'est sûr, c'est pas gai m'enfin ^w^

Bon alors, je vais vous mettre le tout début du livre que je suis en train d'écrire (c'est la première fois que je permet à quelqu'un de lire ça xD) :

Citation :

Les mains dans les poches, Sheena marchait d’un pas lent et discret, longeant le couloir étroit de son collège. Seule, elle semblait comme perdue dans un rêve funèbre. Un rêve qui n’accentuait qu’une expression d’angoisse sur son visage pâle. Un rêve réveillant en elle une sorte de crainte cachée, et qui la poussait à avancer… Sheena était presque une jeune fille comme les autres, d’une taille normale, d’une silhouette mince et élancée et avec de très belles formes, tout ce que pouvait rêver une jeune fille. Cependant, il y avait ce petit quelque chose, qui la différenciait des autres, un détail qui n’échappait à personne. Un détail qui laissait les gens dans une sorte de stupeur désagréable.

Sheena avait un visage fin, aux traits presque parfaits, et toujours coloré de maquillage sombre et bien tracé. Elle avait des yeux clairs d’une couleur verte émeraude, qui reflétaient presque toujours son caractère froid et distant et possédait des lèvres noircies par le maquillage, ne se formant en sourire que très rarement, et n’étant représentée que par cette habituelle expression de lassitude. On aurait pu avoir l’impression qu’elle était toujours ennuyée, de se retrouver ici, ce qui, par conséquent, n’était pas tout à fait faux.
De très longs cheveux noirs aux certaines mèches rouges encadrait son visage, mettant un peu plus en valeur ce visage qu’on aurait pu croire coloré par la peinture de la peur, de cette couleur blanche représentant l’angoisse. Ces mêmes cheveux étaient légèrement ondulés, toujours détachés sur ses épaules et descendant jusqu’à sa taille. Jamais elle n’avait eu l’idée de les attachés en quelconque coiffure, il fallait même dire qu’à ce niveau, elle les laissait bien souvent négligés, seulement peignés rapidement pour essayer de les lisser.

A cette heure de la matinée, le soleil s’était échappé entre les nuages grisâtres, laissant place à la pluie qui cinglait les fenêtres dans un bruit interminable, résonnant dans le silence des couloirs. Si Sheena n’entendait pas les voix tantôt douce, tantôt grave des professeurs enseignant leurs cours à travers les portes, elle aurait pu penser qu’elle se retrouvait seule au milieu d’un long tuyau écrasé par l’eau gelée de la pluie, comme si des centaines de personnes s’étaient mises à lancer de fins cailloux dans le but de renverser ce petit tunnel. Cependant, elle savait que son imagination lui jouait des tours, elle qui avait toujours détesté cette eau naturelle tombant par petits filets trempés des nuages abondants.

L'histoire est simple, j'essaierai de vous la résumer ^w^

Que d'artistes sur Tara !!
des poètes, des écrivains, des dessinateurs, des graphistes...

On attend la suite avec impatience !

pas mal Cha'.

cha' mes les sur ton sky !

Marci ^w^

Sur mon blog ? nah nah il est déjà assez sinistre comme ça mdrr

Pis le premier y est déjà xD

lol effectivment oui mdr