Soirée orageuse...

Mathilde était accoudée à la rambarde de métal, ses grands yeux bleus perdus dans l'immensité de la nuit. C'était une chaude soirée, à Tara, et l'ambiance lourde préparait un orage violent. Mais Mathilde, depuis qu'elle ne campait plus avec ses amis, adorait les orages et l'éléctricité statique qu'ils dégageaient. Le ciel, encore bleu et étoilé, n'allait pas tarder à se couvrir.

Mais les pensées de Mathilde étaient ailleurs, à la guerre qui se préparait, comme toujours. Elle fixait peut être ce ciel magnifiqu pour la dernière fois de sa vie. Et cette idée lui était insupportable. Elle avait déjà perdu ses parents et ses amis humains en venant à Tara, mais en paticipant à cette guerre, elle perdrait peut être aussi ses amis.

Soudain, elle retira sa main à son ceour, dans un spasme incontrolé. Elle s'était pris une décharge venant de la rambarde. Du bout du doigt, avec précautions, elle la toucha. Mais la barre était bel et bien éléctrique. Dans un couinement plaintif, Mathilde retira de nouveau sa main.

*Ce doit être l'orage...*

je vis Mathilde, je croi, rever dans l'imencité du paysage, un sentiment de tristesse et de doute émanait d'elle. l'umidité ambiante de l'aire etait tres désagréable. l'électicité ambiante était elle aussi palpable et tous les insectes s'agités.
soudin je vis boujer Mathidle, puis une deuxieme foi, un sentiment de crainte et de colere vis a vis de la rambarde à laquel elle était apuillée se fit sentir.
je m'aprochas d'elle et lui demandas:

qu'y a t'il, pourquoi tu bouje comme sa?
tu a l'aire tres soucieuse...

pour changer de sujet et tanter de la remoraliser je lui dit:

tu me rapele quelqu'un mais je n'arrive pas a m'en souvenir. t'es parents n'aurait pas démenagés il y a longtemps pour venir abité ici?
je me senti engoissé par la réponce qui allait suivre, car si c'etait elle, mieu valait se faire petit et d'eviter de diivulguer son passé, cela pouvait nous mener a des chose que je ne controlerait plus...

je m'aprochas de la rembarde et m'apuillas dessus. au debut je ne s'entis rien puis un éclaire tombas non loins de l'endroit ou je me trouvait, la decharge partie dans la rembarde et je fu projeté contre le mur.
c'est la dernier chose que je vis.

Mathilde se retourna vivement lorsque Allen l'interpella. Un instant, elle eut envie de s'énerver contre ce garçon qui pensait lire dans ses pensées. Mais après tout, peut être qu'il y parvenait vraiment... Mathilde écarta immédiatement cette hypothèse mais décida de ne pas s'énerver, pour le moment. Elle répondit en fixant son doigt, toujours douloureux:

Et bien, je ne sais pas trop...

Elle hésita à dire que la rambarde était presque éléctrique mais devait regretter son gecte un peu plus tard car elle répondit simplement:

C'est l'orage, ça me rend nerveuse.

Elle sourit légèrement. Mais ses prunelles bleues s'écarquillèrent lorsqu'il lui posa cette question innatendue. Elle ouvrit la bouche pour répondre mais sa réponse se transforma en cri. Mais c'était trop tard. La rambarde le projetta contre le mur et il tomba, comme une masse. Désolée, elle s'approcha doucement et le secoua pour le ranimer. Soudain, ses mains qui étaient encore posée sur ses joues se retrouvèrent maculées de sang. Elle leva les yeux avec dégout et vit la grosse blessure sanglante qui avait du se produire lors de son choc contre le mur. Elle devait l'emmener à l'infirmerie. Elle l'attrapa par le bras mais il était beaucoup trop lourd pour elle. Elle avait besoin d'aide. Elle envoya autour d'elle des ondes désespérées mais ses efforts se révélèrent vains. Alors, une fois de plus, après avoir essuyé ses mains sur le T-Shirt d'Allen, elle essaiya de le ranimer. Mais avant ça, elle pansa la blessure avec le bas de son T-Shirt qui, blanc et propre, pouvait ne pas infecter la blessure.

étalé comme une masse par terre, j'étais dans un piteux états.
mais mes pensée était ailleurs. tous ce qui me ralliaient a la terre et au monde réelle s'écarta et je sentis la vis prendre une autre forme en moi,

Allen, vient avec moi! dit une voie douce et mélodieuse.
hein mais de quoi, qui...qui êtes vous.

je vis une charmante jeune fille au cheveux blond, long et bouclés. elle était habillée d'une robe bleu et d'une chemise blanc. elle me tendait la main pour que je la suive.
après avoir marché quelques heures, elle s'arrêta.

allen tu ne te souvient donc pas de moi?
heuu non pas vraiment, a vrai dire pas du tous. je réussi a afficher un sourire crispé sur mes lèvres.

jetait la tranquille alors que probablement, mathilde était entrain de peiner pour me réanimer.

Mathilde peinait à sa tâche. Il ne se réveillait toujours pas. Un moment, elle craint qu'il ne soit tomber dans le coma mais chassa ses doutes. De nouveau, elle le secoua, légèrement, puis de plus en plus fort. Elle pensa à aller chercher l'aide du premier venu mais elle ne pouvait pas abandonner Allen.

Elle réflachit longuementt puis se souvint comment Natsumi avait ranimer Dorgoth une fois. En lui envoyant une boule d'énergie dans le système vital. Mathilde posa donc délicatement sa main sur le coeu d'Allen et libéra tout ce qu'elle pouvait. Mais rien ne se produisit. Elle sentait encore son pouvoir s'agiter dans sa main, mais il ne sortait pas.

Que faisaient ils sur terre pour ranimer quelqu'un? Ils lui envoyaient une décharge! Inspirée, Mathilde posa sa main sur le front d'Allen que le sang avait rougi puis, lentement posa la main sur la rambarde, tout en rassemblant ses forces dans le bout de ses doigts pour empécher l'éléctricité statique de trop l'atteindre, elle. Et la décharge passa. Mathilde la sentit traverser son corps d'un bras à l'autre puis pénétrer dans le front d'Allen. Immédiatement, elle décolla sa main de la rambarde. Mieux valait ne pas trop envoyer d'éléctrcité à son ami.

Ce dernier, dans une furtive secousse, sembla se réveiller et Mathilde ne put s'empécher de sourire, ses yeux pétillants de malice, en disant d'une voix chaleureuse:

Désolée.

Je sentis une premier décharge d’énergie a travers mon esprit, une énergie qui parcourut tous mon corps, tous mes nerf et mes muscles se tendirent. Mais je ne sentis rien de grave, j’étais toujours dans ce champs, entouré de fleures, d’herbe. Les oiseaux chantaient et il y avait toujours cette femme, je devais divaguer car je ne comprenais absolument rien de ce qu’elle disait. Puis une deuxième décharge, le sol souris sous mes pieds en un tourbillon noir. Je me fis engloutir par ce trou, des lumières défilaient autour de moi et je ne contrôlais absolument plus rien. Je tombais, inévitablement et aucun moyen de m’en sortir.
Je vis le sol, qui ce rapprochait a vive allure. Tous devin blanc et je rouvris les yeux, j’etait bien sur la terre mais où ?

Qui..qui êtes vous ? Quesque je fais ici ? Où je suis ?

Je ne comprenais plus rien et je ne me rappelais même plus de mon prénom.
Tous tournait autour de moi, j’essayât de me relever mais sans grand succès. Je mis la main sur mon front et vit du sang sur ma main. Les malheurs s’enchainaient inexorablement comme les jours qui passaient.

Mathilde ne put s'empécher de se frapper violemment la tête du poing. Maintenant qu'il était réveilléé, il avait tout oublier! Elle le secoua brusquement tout en hurlant:

Tu es à Tara, tu t'appelle Allen bordel de m*rd*! (hj: censure obligatoire ) Et moi je suis Mathilde, tu t'es pris une décharge espèce de triple crétin!

Un moment, elle crut que ses cris ne servaient à rien, puis Allen sembla reprendre ses esprits. Elle soupira de soulagement puis expliqua d'une voix plus calme:

Ecoute, tu t'es probablement ouvert le front. Locki m'a appris à faire dzes point de souture et j'ai mon matos mais je préfèrerais aller à l'infirmerie, ici ça craint. Tu peux tenir debout ou pas?

Elle glissa son bras sous celui d'Allen et l'aida à se relever lentement. Sa perte de sang devait l'affaiblir et elle sentit son poid reposer sur son épaule. Mathilde grimaça. Ça n'allait pas être facile. Elle commença à marcher vers la sortie, attendant une réaction quelquonque de son ami.

hj: tu commence le sujet dans l'infimerie!

[hrp]ok[/hrp]!!