Une tristesse contenue... [Libre ^.^]

La journée avait été des plus banales pour la jeune Sakura. Elle s'était décidée à marcher un peu à l'extérieur de l'académie, et pourtant elle n'avait trouvé aucun plaisir à arpenter les chemins. Le paysage était pourtant magnifique, les arbres verdoyaient, et flottait dans l'air une agréable odeur d'herbe fraîche et de fleurs naissantes. Et puis, il y avait le soleil qui s'était brusquement dégagé d'entre les nuages grisâtres, lançant ses rayons chauds qui poursuivaient tous les êtres de Thalïandre. Sakura n'aimait pas vraiment le soleil. A vrai dire, elle était un peu comme ces animaux qui ne sortent que la nuit pour se nourrir, et lorsqu'elle avait prit cette habitude, elle s'était lentement accaparée de cette douceur nocturne qui lui plaisait tant. Mais finalement, elle avait résisté à la tentation de rentrer en courant dans la fraîcheur des couloirs, et d'entrer brusquement dans sa chambre pour dormir, afin d'être plus en forme la nuit. Il était donc assez tard désormais, environ dix heures du soir. Les brises froides s'étaient vite levées, soulevant les cheveux roux et blancs de la jeune adolescente. Elle les avaient d'ailleurs attaché en une coiffure complexe, et la lune qui était apparu dans un ciel noir de jais faisait presque briller ses mèches blanches et grises naturelles. Encore dehors, Sakura marchait lentement, insensible au froid qui lui giflait désormais la peau.

Elle décida alors brusquement d'entrer dans l'académie, n'étant pas très à l'aise sous le regard trop pesant des étoiles, et du vide qui régnait tout autour d'elle... L'amnésique soupira, elle était désormais en train de s'avancer dans les souterrains. Insensible à l'obscurité que lui offrait le couloir dans lequel elle progressait lentement, elle avait dressé sa main devant elle pour y faire naître une petite boule violette lumineuse qui éclairait son chemin. Chargée d'électricité, quiconque aurait voulu déposer sa main sur cette lampe originale pour s'y réchauffer, se serait vu électrocuté. Et puis, il fallait se méfier des apparences, cette petite loupiote qui se mouvait rapidement dans sa paume pour former une sphère était aussi froide que de la glace.

La jeune adolescente était confiante. Il lui semblait connaître ce passage, pourtant difficile à trouver parmis tous les couloirs qui soutenaient l'académie. Alors une grande porte de bois et de métal apparu devant elle, dont la taille réelle était décuplée par l'ombre que lui fournissait la boule électrique. Sakura sentit son coeur se mettre à battre à tout rompre. Elle se souvenait de cette salle, nommée virtuelle. Oui, elle s'était déjà entraînée ici, et les éclairs qui étaient apparus l'avait convaincue qu'il valait mieux qu'elle utilise ses pouvoirs au lieu de se morphondre dans la tristesse qu'elle avait eu de connaître une partie importante de son passée. L'adolescente poussa lentement la grosse porte, dont le grinçement douloureux était insuportable. Face à elle, un paysage morne. Un desert noir, dont le sable semblait aussi dur que de la roche, et aussi froid que de la glace. Le ciel était lui aussi d'un noir de jais, sans étoiles, juste ponctué par des éclairs qui s'éparpillaient ça et là devant elle. C'était un paysage triste. Pas vraiment dangereux, comme elle l'avait entendu dire. En fait, sa force d'esprit obligeait la salle à être calme, comme beaucoup de gens l'auraient fait. L'amnésique s'assit au milieu de cette vaste pièce sinistre. Les genoux ramenés contre sa poitrine, elle soupira, les enveloppant de ses bras. Elle était fatiguée. Fatiguée d'attendre cette fin dont elle voulait l'approche, sans même le savoir. Et puis elle était à bout, elle ne pouvait plus vivre la nuit, elle ne voulait pas devenir étrange aux yeux de tous, et pourtant, même si son esprit lui disait que c'était mauvais, son corps ne lui obéissait plus. Recroquevillée sur elle même, elle songea qu'elle avait oublié de fermer la porte, et que la petite boule électrique fleurissait toujours dans le creux de sa paume fermée.

Elle s'endormit sur cette dernière pensée...

Allen qui avait vus au part avant la jeune fille se promener dans les bois alors qu’il cherchait de la solitude. décidément on ne pouvait plus être tranquille ici. Il sentit un étrange sentiment lui parcourir la colonne vertébrale de bas en haut, remontant dans sa nuque et se propageas dans ses bras. Cette fille, il ne lavait jamais vus mais pourtant il sentait quelle était mal dans sa peau. Il ne savait pas comment ni pourquoi il sentait celas, peut être était-ce là son vrai pouvoir. Ressentir les émotions des personnes qui l’entour. Il sentait une par de vide chez cette fille, comme si on lui avait enlevé une par d’elle-même. Il décidas de la suivre mais à distance, il n’était pas sur que cette fille ne puisse pas le repérer. Cette fille lui rappelait son maître, une personne distante et don on ne sais pas tous, une personne étrange qui a une existence, une vie qui n’est pas comme les autres, le genre de personnes qui vous attire et vous repousse, vous inspire la crainte et le respect.

Allen suivit la jeune femme d’un pas sur car il savait que à cette distance l’adolescente ne le repérerait pas. Elle entras dans l’académie puis, pris le chemin des souterrains. Elle ne tardas pas à entrer et Allen crus voir apparaître une boule de lumière violette dans la main de la jeune femme. Allen la suivit, poussé par la curiosité et un étrange sentiment. Il ne savait pas ou elle allait, mais elle y aller d’un pas sur. Mais on aurait dit par son regard et ses mouvement quelle découvrait l’endroit en question. Allen rentra dans les souterrains toujours en suivant de loin l’étrange fille. L’aire était glacé et Allen eu du mal a suivre sa cible à cause du sol qui montrait parfaitement les ravage du temps. Elle arriva à une grande porte en métal, quelle ouvrit péniblement, cette porte grinças sans doute autant que les portes de l’enfer qui s’ouvrent.
Elle pénétra dans la salle, vide et obscure.

Allen attendit quelques instants avents d’entrer dans la salle. Quand il pénétras il ressentis un grand vide, il ne ressenti plus les émotions de la mystérieuse jeune fille ni même les cienne. Quand il marcha dans le sable fin, il ne s’enfonça pas d’un poil contrairement à ce qu’il aurait pu penser. Quand il vit la jeune fille recroquevillée, une lumière jaillissant de sa main il alla dans sa direction. Il arrivas près d’elle et posât un genou à terre. Le sol était très froid.
Il posa sa main droite sur l’épaule de la dormeuse qui avait visiblement du s’endormir ici car elle n’en pouvait plus.
Il dit d’un ton doux et gentil :

hé ! C’est pas un endroit pour dormir ici , il fait trop froid, surtout habiller aussi chaudement.

Allen retiras sont mentau et le passa sur les frêles épaules de la jeune fille encore endormis.

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